Vol 23, Association Française des Amis de John Henry Newman, Lyon 2007, 159 pp.
– BRUGUÈS J.-L., L’Église avocate de la conscience, 13-27.
– ATTARD F., L’émergence de la conscience dans les Parochial and Plain Sermons et dans les Letters and Diaries, 29-54.
– VAISS P., Les sources protestantes de la pensée de Newman sur la conscience, 55-79.
– CHAMPIÉ St., Nature de l’homme et formation de la conscience chez Newman, 81-94.
– TERLINDEN L., Conscience ou raison ? Dualité et complémentarité de la conscience et de la raison dans les Sermons universitaires de Newman, 95-107.
– DURAND M., Newman et la conscience dans son roman Callista et dans son sermon « Ce qui dispose à la foi ». 109-124.
– THOMASSET A., Le rôle de la conscience dans la recherche de la vérité religieuse d’après la Grammaire de l’assentiment, 125-138.
– BEAUMONT K., Morale chrétienne et morale humaniste : deux conceptions contrastées de la « conscience » dans L’Idée d’Université, 139-148.
– DE BERRANGER O., Conscience et infaillibilité dans l’Apologia, 149-160.
– GAUTHIER P., La Lettre au duc de Norfolk: analyse en vue d’un débat, 161-170.
– RENCKI J., La conscience chez Newman, prophète du concile II et de sa réception, 171-187.
– VINCETTE P., La conception de la conscience chez Newman et chez Rielo, 189-201.
